Les voyageurs du lien venu
S’aiment à se fendre la vie
Sous un nuage de liberté
Tendres silences aux lèvres gercées
O belles caresses dérobées
Aux mains noueuses d’un berger
Quand le soleil ôte sa couronne
Pour l’offrir aux étoiles cachées
L’âme fiévreuse s’endolorit
Sur les deux flancs ondoyants
D’une prudence qui s’enfuit
Tel un baiser effarouché du monde
© Amina MEKAHLI
Je n’avais pas vu que tu avais un Blog Amina !
Quelle belle idée…
Je prendrai le temps de le lire de temps en temps…
Je mettrai un lien vers lui sur mon site
Bisous de Lyon, Ode FB 🙂
Oui ma chère amie lyonnaise, sœur de miel. J’ai ce site depuis quelque temps. Merci à toi.
Amina